Je suis d'accord avec vous, monsieur le ministre, les effets indésirables sont très minoritaires – tout comme les soignants qui ne souhaitent pas se vacciner. Mais cela arrive, et les gens l'entendent. Arrêtons de parler d'abus. Les Français ne sont pas feignants et ils savent que, s'ils ne vont pas travailler, ils devront rattraper leur journée car personne ne le fera à leur place. Ils n'abuseront donc pas d'une telle disposition, qui permettrait de convaincre certains réticents à la vaccination.