Il s'agit d'abroger, dans le code de la santé publique, les dispositions relatives à l'état d'urgence sanitaire. Nous n'y sommes pour rien si le personnel de l'assemblée, que nous respectons, travaille encore à cinq heures du matin, car nous ne décidons pas de l'agenda. Dire que nous allons aller nous coucher revient à oublier qu'il va nous falloir retravailler et redéposer les amendements que nous avons préparés avec nos équipes. Nous n'allons pas arriver à quinze heures la bouche en cœur.