Le terme de « violence » me fait bondir ! Nous parlons de multirécidivistes qui ont commis des crimes ou des délits pour lesquels ils encourent une peine de cinq ans d'emprisonnement. Comment pouvez-vous qualifier de violence la prise d'empreinte ou la photographie ? Ce ne sont pas des techniques invasives ! Au contraire, c'est le minimum que nous puissions faire ! Si l'on persiste à ne pas se protéger, on ne règlera jamais les problèmes. Les Français ne vous entendent plus quand vous vous exprimez ainsi, surtout s'ils vivent dans des quartiers où les mineurs multiplient les actes de délinquance. Je ne porte pas de jugement de valeur. Ces mineurs subissent, la plupart du temps, un système auquel ils ne peuvent échapper, mais on ne peut pas prétendre aider ces enfants si on ne se donne pas les moyens de les répertorier en prenant leurs empreintes dès lors qu'ils commettent un délit, que celui-ci soit puni de plus ou de moins de cinq ans d'emprisonnement !