Si nous supprimions l'article 2, on passerait, en Polynésie française ou encore en Guyane, de l'état d'urgence sanitaire à rien du tout. Ces territoires seraient alors complètement démunis contre le covid.
Par ailleurs, je le répète, l'article 2 vise à proroger jusqu'au 31 juillet 2022 non pas le passe sanitaire lui-même, mais la durée pendant laquelle cette arme peut être utilisée contre le covid.
J'émets donc un avis défavorable à ces amendements de suppression.