La nécessité d'agir en amont ne doit pas nous empêcher de réfléchir à ce qui peut être fait à l'Assemblée nationale.
Nous n'imaginons pas tous les écueils que rencontrent les personnes handicapées – et il n'y a pas que les handicaps moteurs, dont on parle beaucoup parce qu'ils sont visibles. Il faut tout prendre en compte, et nous avons besoin pour cela du plus grand nombre de contributions possible.