La difficulté à recruter des collaborateurs en situation de handicap ne tient pas qu'à l'environnement, mais aussi au fait qu'un vivier a du mal à se constituer parce que la France peine à permettre aux personnes en situation de handicap de faire de longues études, donc d'avoir un niveau de qualification correspondant au niveau que l'on est en droit d'attendre d'un collaborateur parlementaire. Cela dépasse notre cadre ici mais il me semblait important de le souligner.