Pensez-vous que les locaux de l'Assemblée nationale sont suffisamment accessibles aux personnes présentant des handicaps sensoriels, tels la surdité ou la cécité ?
L'Assemblée devrait-elle s'engager dans une démarche de traduction plus fréquente de documents institutionnels, par exemple en braille, ou recourir plus souvent à l'interprétation en langue des signes, comme nous le faisons pour notre groupe de travail ?