Je suis administratrice de l'UNAPEI, présidente de la commission vie sociale, c'est-à-dire accès à la culture, aux loisirs, au tourisme, à la vie affective et sexuelle, à la parentalité et éventuellement à la spiritualité – mais nous n'en avons pas encore parlé.
Je suis par ailleurs présidente de l'UNAPEI Île-de-France. Dans les années cinquante, des associations de base se sont fédérées pour fonder l'UNAPEI en 1960. Vous avez indiqué qu'il s'agissait d'un mouvement parental ; je suis moi-même parent d'une jeune femme handicapée mentale. Pour l'Île-de-France, je fédère moi-même des associations départementales, lesquelles fédèrent à leur tour des associations locales. Nous avons donc une organisation pyramidale. Chaque association est bien sûr autonome à l'intérieur du mouvement, mais nos idées et valeurs sont communes sur l'ensemble du territoire.