La promiscuité dans les bureaux renforce le risque de harcèlement, qui plus est aux heures de travail qui sont les nôtres ; c'est une dimension que la déontologue, dans son rapport de 2016, décrit parfaitement. Il serait bon d'envisager une autre configuration des bureaux, mais cette solution est compliquée à mettre en œuvre sur le plan logistique et d'autres mesures peuvent être prises de façon plus urgente.
Notre association, de par son objet, s'est focalisée sur la question du sexisme, et si des hommes ont pu faire état de harcèlement moral dans notre sondage, nous avons choisi d'isoler les réponses des femmes. Les syndicats de collaborateurs, que vous avez auditionnés, sont plus à même de vous informer sur cette question.
Enfin, nous n'avons pas encore rencontré la cellule du Sénat, mais c'est une excellente idée.