Oui, il faut faire en sorte que les choses ne se passent pas, mais lorsqu'une femme dénonce de tels faits, comment est-elle accueillie, que se passe-t-il ensuite ? Il me semble que l'association des députés-employeurs pourrait réfléchir à la question des sanctions et des répercussions.
Il ne faut pas se laisser intimider par l'idée qu'agir de façon ferme et volontaire dans ce domaine serait affaiblir l'institution ou jeter l'opprobre. L'Assemblée nationale doit se montrer exemplaire et affirmer qu'elle n'acceptera pas que ces choses-là se passent en son sein.