S'agissant de l'orientation des victimes, elle consiste, à ce stade, à conseiller à la personne qui vient me voir d'aller consulter un médecin si elle ne l'a pas déjà fait, de s'adresser à l'inspection du travail ou au service de la Gestion financière et sociale lorsque les problèmes relèvent de sa compétence. Je n'ai pas de liste de professionnels à communiquer aux victimes mais, s'il existait une cellule, je pourrais les orienter vers ces médecins. Il m'est arrivé de recommander le médecin de l'Assemblée, mais je constate que beaucoup de collaborateurs préfèrent consulter un médecin à l'extérieur.
Quant aux risques psychosociaux de manière plus générale, ma compétence se limite aux cas de harcèlement. Évidemment, la frontière entre le harcèlement et les risques psychosociaux n'est pas facile à établir mais il ne me revient pas de faire des propositions sur la prise en charge de l'ensemble des risques psychosociaux.