a constaté que la gouvernance des EPCI durant cette période transitoire suscite des appréciations divergentes. Il apparait clairement que la situation actuelle n'est pas satisfaisante car les exécutifs des conseils communautaires manquent de légitimité. Le débat est ouvert entre ceux qui pensent qu'il est préférable de garder les exécutifs en place pour des raisons d'efficacité et d'autres qui soulignent que si les élections sont reportées à l'automne, il faut, dans un souci de légitimité, associer les nouveaux élus au 1er tour de mars 2020 à la gouvernance de l'EPCI.