a formé le vœu que les élus au premier tour puissent entrer en fonction fin mai ou début juin et que le Premier ministre fixe rapidement un calendrier. Pour les cas de second tour, le mieux serait de les organisés également en juin afin de ne pas bloquer le fonctionnement normal des EPCI. La situation actuelle qui voit des maires battus au premier tour ou ne s'étant pas représentés, continuer à siéger au sein des exécutifs communautaires pose un problème de légitimité et ne permet pas de prendre les décisions en matière économique qui sont pourtant nécessaires pour la relance de l'activité locale.
En ce qui concerne l'école, il existe certes des parents hypocondriaques qui reprochent aux élus de vouloirs rouvrir les classes, mais il y aussi des maires battus ou ne se représentant pas qui doivent gérer cette situation alors qu'ils devront bientôt quitter leurs fonctions et qu'ils peuvent se trouver en porte-à-faux vis-à-vis de la nouvelle équipe municipale.