Pouvez-vous nous parler du travail que vous menez sur l'élargissement de la garantie de prévoyance dans la fonction publique territoriale ?
Le numérique n'est pas encore développé à l'intérieur même des services et, vis-à-vis du grand public, on a connu quelques sinistres importants comme des sites ou des outils qui étaient inadaptés, incompréhensibles, et qui n'ont pas donné satisfaction. Je pense, en particulier, à l'Agence nationale des titres sécurisés (ANTS), qui a réalisé un travail sur cette question, mais aussi à d'autres cas dans lesquels le lien entre les usagers et l'administration par l'intermédiaire du numérique pose encore problème. Travaillez-vous sur ce sujet ?
Troisième élément, je voudrais souligner la grande hétérogénéité des centres de gestion de la fonction publique territoriale. Prévoyez-vous de généraliser les pratiques qui fonctionnent ?
Enfin, nous sommes souvent sollicités par des jeunes, ou des moins jeunes, qui se sont présentés à un concours de l'administration et ont ensuite été recalés lors de la visite médicale. Pourquoi ne commence-t-on pas par elle, ou du moins par une vérification de l'aptitude des intéressés, au lieu de les laisser passer des concours et de leur refuser ensuite, notamment dans les forces armées, l'entrée dans le métier ?