Les 20 % d'étudiants qui vivaient en dessous du seuil de pauvreté, privés des petits boulots ou des jobs d'été qui leur permettaient de subsister, connaissent des situations parfois dramatiques. Le service national universel, souvent contesté, coûte 2 milliards d'euros. Pourquoi ne pas destiner aux étudiants la moitié de ces crédits, et l'autre aux associations, elles-mêmes en grande difficulté ?
Des inégalités de traitement sont dénoncées, certaines universités soumettant leurs étudiants à des examens, d'autres non. N'est-il pas possible d'adopter, pour toutes les universités de France, une même ligne ?