La question d'Olivier Becht portait sur les compagnies aériennes ultramarines : comment les sauver et éviter les distorsions de concurrence ? Vous n'y avez pas tout à fait répondu, monsieur le secrétaire d'État.
Quelle est la situation de nos ressortissants confinés à l'étranger, parfois malgré eux ? Quels engagements l'État peut-il prendre envers eux ?
Je me réjouis par ailleurs que vous ayez évoqué une expérimentation territoriale de trains légers, circulant si possible à l'hydrogène.
Madame la ministre, le 2 avril dernier, la Banque des Territoires entrait au capital d'Ostwind, un groupe allemand de production d'éoliennes, opération que nombre de nos concitoyens pourraient mal interpréter, dans le contexte. Quels sont les contours de la stratégie de l'État dans ce dossier ?
La filière éolienne française est loin derrière ses concurrents internationaux. Aucune entreprise hexagonale ne figure ainsi parmi les dix premiers constructeurs mondiaux, ce qui nous rend dépendants. La crise ne constitue-t-elle pas une occasion de bâtir une filière éolienne française ?