Je voudrais m'associer aux propos tenus par Marielle de Sarnez et exprimer ma reconnaissance aux personnels de l'éducation nationale qui se sont fortement mobilisés pendant le confinement et pour préparer le déconfinement.
Ma question est inspirée par les remontées de terrain. Alors que la pré-rentrée était initialement prévue le 11 mai, la circulaire du 4 mai prévoit la possibilité de la prolonger jusqu'au 12 en fonction des « circonstances locales ». Certaines mairies qui avaient pris leurs dispositions avant le 4 mai et annoncé aux parents une rentrée le 12 se voient contraintes de trouver une solution alternative du fait du décalage de la pré-rentrée. Comment la notion de circonstances locales doit-elle être interprétée ?