Si la fonction préfectorale n'est pas genrée, je veux avoir une pensée pour les préfètes de départements, tout aussi efficaces que leurs homologues masculins. En Indre-et-Loire, notre préfète a fait preuve de son engagement et de sa capacité à travailler en lien avec tous les acteurs de terrain. Je rends également hommage aux sous-préfets, qui font beaucoup de « cousu main », pour reprendre une expression employée précédemment.
Comment les services de l'État ont-ils pu faire face à l'augmentation de l'ordre de 3 % des violences intrafamiliales et conjugales durant le confinement, et quelles améliorations pourrait-on envisager pour l'avenir ? Y a-t-il des dispositifs créés pendant la crise et qui pourraient être rendus pérennes ?