Le stock de masques acquis entre 2003 et 2005, non conformes et sans date de péremption, a fait l'objet tout au long des années 2010 de plusieurs échanges entre la DGS et l'EPRUS puis Santé publique France. Ces échanges ont abouti à ce que le directeur général de la santé demande un contrôle de ce stock en 2017, ce qui me semble légitime pour des masques aussi anciens et destinés à un usage sanitaire. Le contrôle, effectué en 2018, a mené à la destruction, sur saisine de la DGS, d'une partie du stock. C'est le vieillissement des masques qui est en cause, non les conditions de stockage ou la plateforme de Marolles elle‑même.