Je le regrette beaucoup. Mais je ne pense pas que ces instructions concernent le périmètre de Santé publique France. En revanche, nous avons été parmi les premiers à alerter, très formellement, la direction générale de l'offre de soins (DGOS) sur la diminution du recours aux urgences pour certaines pathologies aiguës, comme les accidents vasculaires cérébraux ou les infarctus du myocarde.