On a évoqué ce stock d'un milliard de masques et vous y êtes revenu. Vous attachez une grande importance à la présence de ce stock stratégique. Vous aviez alors comme opérateur l'EPRUS, inclus dans l'agence Santé publique France. La convention qui lie la DGS avec l'EPRUS – dont notre collègue Jean-Pierre Door est l'un des fondateurs, à la suite de son rapport –, prévoyait un renouvellement chaque année des stocks stratégiques et des stocks de masques. Vous nous dites avoir fait une commande de 100 millions de masques. Je ne sais pas si la saisine de l'EPRUS a été faite avant ou après votre arrivée, mais je pense que la commande devait arriver en 2014. Pouvez-vous préciser cette date ? Y a-t-il eu d'autres commandes ? Pourquoi s'est-on progressivement éloigné de cet objectif que vous rappeliez vous-même, et qui me paraît très pertinent, d'un stock d'un milliard de masques ?