Des dizaines de milliers de patients prennent chaque jour de l'hydroxychloroquine pour traiter des maladies articulaires d'origine inflammatoire. J'en ai moi-même délivré pendant plus de trente ans en tant que pharmacienne. Savons-nous s'ils ont été moins atteints par le coronavirus ? Des études ont-elles été menées ?
Quand j'ai interrogé le professeur Salomon sur l'interdiction de l'hydroxychloroquine, il m'a répondu que sa médiatisation entraînait des risques d'automédication. Qu'est-ce qui, d'après vous, peut justifier une telle interdiction de prescription par les médecins ?