On peut distinguer trois phases : celle allant du 22 janvier au 4 mars, marquée par le respect de l'avis national du Haut Conseil de la santé publique ; celle du 4 au 23 mars, marquée par un avis des sociétés françaises d'hygiène hospitalière ; et la plus récente, car s'imposait la protection des sujets contacts des collègues réputés positifs et, compte tenu de la dissémination du virus à l'intérieur de l'établissement, le port du masque obligatoire pour tous est donc devenu une nécessité évidente.
Nous ne nous sommes jamais, à proprement parler, écartés des différentes doctrines, que nous avons déclinées ; de même, nous n'avons pas souffert de rupture d'approvisionnement puisque nous avons pu être servis sur le stock national. La généralisation du port du masque est intervenue dans le prolongement de notre politique de prévention visant à protéger les personnes contacts.