Il ne comporte effectivement que très peu sur les masques. La gestion de nos stocks intégrait cependant celle d'un stock de précaution qui correspondait, au CHU de Strasbourg, à trente jours de consommation pour les masques chirurgicaux et à quatre-vingts jours pour les masques FFP2, avec des réapprovisionnements non limités en quantité, ce qui aurait fonctionné sans la rupture de la filière d'approvisionnement, laquelle était difficilement prévisible au moment où une telle doctrine a été établie.