En ce qui concerne le décret relatif au Ritrovil, les médecins de famille faisaient remonter l'information qu'ils étaient face à des patients en fin de vie et qu'ils n'avaient pas la capacité d'utiliser un certain nombre de molécules qui était de réserve hospitalière. Je pense que le décret a répondu à la demande de faciliter l'accès des médecins traitants à cette capacité thérapeutique. Je l'ai dit, notre équipe de soins palliatifs a ouvert 24 heures sur 24 un numéro qui permettait aux médecins traitants d'accéder à un avis de spécialistes en soins palliatifs pour les aider à prendre en charge ce type de patients, et à recourir à des molécules sans doute moins utilisées par nos collègues de ville qu'à l'hôpital.