Les régulations SAMU – on est obligé de passer par le 15 – n'ont pas été faites dans ce sens-là. Nous avons constaté une multiplication des cas, mais les hotlines ont permis d'enrayer ce mécanisme délétère. Le recours téléphonique à un référent hospitalier à qui expliquer l'état clinique du patient, ses comorbidités et autres données, et avec qui discuter a permis de faire disparaître petit à petit ce genre de comportement.