Vous avez déclaré que l'OMS était sous influence chinoise et qu'elle est « si mal en point, qu'elle est incapable de jouer un rôle quelconque dans les désordres ». Vous avez également regretté que le Conseil de sécurité ne se soit pas réuni dans l'urgence. Pouvez-vous développer ces assertions ? Une refonte en profondeur de l'OMS est-elle nécessaire ?
Vous évoquez la nécessité de s'appuyer sur les élus. En effet, leur rôle est primordial dans la gestion des crises. Dans le Bas-Rhin, par exemple, les services déconcentrés de l'État en sont à leur troisième rédaction d'un arrêté sur le port du masque dans la rue. Les deux autres, élaborés sans aucune concertation, ont fait l'objet de recours par différents mouvements de citoyens.