La question qui se pose est en effet celle de l'application de vos recommandations. Lorsque, dans mon cabinet médical, je demande à un patient de faire un test de dépistage, je ne suis efficace que s'il le fait. Loin de moi l'idée de remettre en question ce qui a été fait par le SGDSN, puisque, comme le remarquait mon collègue Démoulin, les recommandations sont précises, mais je m'interroge sur leur application sur le terrain. En outre, certains intervenants nous ont dit qu'à la suite de la doctrine de 2013, par anticipation de son application, l'État aurait décidé de réduire les achats de masques, puisque, théoriquement, il y en aurait eu moins besoin.