Comment s'est déroulé ce travail de surveillance des importations ? Même si les normes ont été élargies, les masques devaient répondre à des normes de sécurité vis-à-vis des usagers. Combien de masques ont été refusés par vos services ?
Comment avez-vous travaillé avec les autres organismes responsables de l'organisation, de la distribution et de la validation des masques tels que Santé publique France, l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) mais aussi peut-être avec le LNE/G-MED pour la certification européenne ?
Nous avons entendu dire, lors de différentes auditions, que notre stratégie nationale, comme celle d'autres pays, avait été déterminée par la capacité des fabricants à livrer, dans les délais impartis, des stocks de masques en cas de crise, ce qui impliquait en fait de les importer. Cette orientation ayant été retenue depuis de nombreuses années, vous avait-on demandé, ou avez-vous demandé à vos services de mettre en place une organisation particulière permettant d'absorber, en cas d'épidémie grave, un possible flux de masques en provenance de Chine ?