Je suis un peu embarrassé par la question. Aucun élément ne vient appuyer cette information. L'un de nos experts travaille au sein de ce laboratoire. S'il y avait des turpitudes liées à des armes bactériologiques dans un laboratoire, les Chinois ne choisiraient pas celui qui a un partenariat avec un pays étranger.
Nous avons choisi de construire ce laboratoire au lendemain de l'épidémie du SRAS. La logique était que, s'agissant des maladies émergentes, le vrai défi se trouvait en Chine. Le choix du Président Jacques Chirac de coopérer avec les Chinois sur ce thème est a posteriori légitimé.