Dans vos propos liminaires, monsieur le Premier ministre, vous avez souligné les nombreux échanges avec nos voisins européens. Pourriez-vous préciser leur nature ? L'Europe, que nous souhaitons solidaire, est un atout, mais avez-vous des échanges privilégiés avec certains pays – vous avez évoqué la chancelière allemande – en Europe, certes, mais aussi dans le monde ? Ont-ils influé sur vos décisions, l'idée étant d'aller chercher les bonnes pratiques dans le monde entier ?
Dans cette crise inédite et complexe, la priorité demeure certes celle de la santé mais le critère de l'acceptabilité est de plus en plus important, au point qu'il pourrait en venir à primer. Qu'en pensez-vous puisque, comme vous le dites avec raison, nous devrons vivre avec ce virus ? Ce critère me semble donc d'autant plus primordial.