Je vous remercie, madame la ministre, d'avoir mis ces problématiques en évidence. Le relèvement du seuil de revente à perte et l'encadrement des promotions ont montré que nous avons fait preuve de volontarisme et ont largement témoigné de leur utilité.
Toutefois, j'étais hier avec des représentants du Comité interprofessionnel des palmipèdes à foie gras (CIFOG), qui m'ont fait part d'une perte assez importante de leur chiffre d'affaires en raison de cette disposition. La raison en est toute simple : on n'écrit pas sur sa liste de courses « foie gras » ! Leurs produits doivent être mis en lumière. Cet angle mort nous avait échappé dans nos réflexions sur la loi ÉGALIM.