Nous ne pouvons pas nous borner à l'interdiction pure et à des sanctions pénales, qui d'ailleurs ne sont même pas forcément appliquées. En effet, la pédagogie est essentielle, parce que nos frontières n'arrêtent pas les comportements individuels. Je rejoins la nécessité d'une réflexion internationale – au moins européenne dans un premier temps. À cet égard, la participation aux États généraux de la bioéthique donne matière à encouragements, mais aussi matière à inquiétudes, parce qu'elle devrait quand même être améliorée à l'avenir.