Ma première question concerne l'intelligence artificielle, que le texte prévoit d'encadrer, l'idée étant de garantir la présence, l'interprétation humaine. Est-ce que cet encadrement vous paraît satisfaisant ? Conviendrait-il d'aller plus loin et d'en renforcer certains aspects ?
Ce que vous avez dit sur la différence entre prédiction et prévention fait penser à l'un des points du texte qui concerne justement l'examen des caractéristiques génétiques et la façon de gérer les données incidentes. Là encore, un équilibre est recherché entre l'utilité d'accéder à l'information, pour des raisons médicales, et le droit de ne pas savoir. Est-ce que cet encadrement vous paraît suffisant pour garantir la volonté de ceux qui avaient procédé initialement à cet examen ?