Quand j'ai dit que nous choisissons l'intérêt de l'enfant, nous le faisons en prévoyant le consentement du donneur au moment du don, et non à la majorité de l'enfant, mais cela implique aussi que pendant toute la vie, jusqu'à la majorité de l'enfant, il y ait le travail que vous dites, pour que nous sortions du « ni vu, ni connu ».