Monsieur le Défenseur des droits, vous avez évoqué la contradiction qu'il faut trancher entre le droit d'accès aux origines et la liberté ou le « droit » du donneur. Vous avez indiqué votre préférence, mais il y a aussi un autre paradigme – un mot à convoquer dans cette contradiction : celui de ce que devient le don au milieu de cette contradiction. Je voulais en réalité vous demander de préciser la notion de droit d'accès aux origines, et peut-être aussi la notion d'origines.