Monsieur le rapporteur, votre argument est un peu facile : certes, on ne peut inscrire une chose et son contraire dans deux alinéas successifs, mais c'est tout de même vous qui avez ouvert l'accès à la ROPA en cas d'infertilité, et élargi un peu plus loin le dispositif… Revenons à la question de fond : assumez-vous ou pas l'ouverture de la ROPA dans la loi de bioéthique ? Vous l'assumez, mais nous aimerions savoir si le Gouvernement en fera autant.