Une fois n'est pas coutume, je suis d'accord avec la rapporteure. La bioéthique à la française comporte un principe fort : l'anonymat du don. La seule entorse acceptable est la possibilité pour les enfants nés à partir d'un don d'accéder à leurs origines. La modification proposée dans ces amendements ne me paraît pas opportune. Ne nous aventurons pas sur ce chemin : nous ne savons pas jusqu'où il peut nous mener.