Je partage pleinement vos arguments et je suis favorable à ces deux amendements.
Le Sénat a certainement procédé d'une bonne intention, mais distinguer, c'est un peu identifier ; dès lors, c'est porter atteinte, d'une certaine manière, à un principe fondamental auquel nous ne devons en aucun cas déroger, celui de l'anonymat.
Le principal don d'organe de son vivant concerne le rein au bénéfice d'un proche, un parent, un enfant. On ne réclame pas un titre ou une distinction quand on a pu sauver son enfant.