Je n'ai moi aussi qu'une nuance à apporter à ce qu'a dit le rapporteur. Si l'on fait confiance à des sociétés françaises, le plus simple serait qu'elles soient publiques et qu'elles s'intègrent à un pôle public du médicament, ce qui permettrait d'exercer un véritable contrôle sur les données recueillies en excluant l'entrée de capitaux étrangers.