Si l'idée peut séduire à première vue, on voit très vite qu'elle va trop loin d'un point de vue fiscal, au risque de nuire à la compétitivité de nos clubs, et pas assez loin au plan géographique, au risque d'isoler la France sur un marché très ouvert. Il est évident que ce type de taxation ne peut s'envisager qu'à un niveau européen, voire mondial.