Que des travaux soient menés sur des animaux afin de sécuriser les recherches avant de les étendre à l'humain, on le comprend. Mais lorsqu'on franchit la barrière des espèces, dans un sens ou dans l'autre, en développant des chimères, l'on entre dans une logique très différente. La loi de bioéthique doit établir des garde-fous pour éviter ce type d'évolution.