Je ne suis pas d'accord avec vous, au moins s'agissant de la première phrase. Nous traitons de médecine fœtale : il s'agit bien de la santé et non nécessairement du devenir du fœtus, que l'on considère déjà comme un être vivant dans le ventre de sa maman. Certains de ces fœtus risquent de souffrir, et c'est pour leur santé, et pour celle de leur mère, que l'on recourt à ce type de procédure.
La deuxième occurrence me gêne moins que la première, qui tendrait à simplement considérer le fœtus en devenir, comme s'il n'avait pas un état de santé in utero ; or il est bien question de médecine in utero.