Certes, une loi de bioéthique n'est qu'une étape ; elle sera suivie par d'autres dans le détail desquelles il ne nous appartient pas d'entrer. Dix ans nous séparent de la loi précédente. Je lis dans le journal La Croix que certains voudraient procrastiner davantage – alors que nous avons déjà trois ans de retard sur le calendrier – et en discuter lors d'un débat électoral. Mais tout cela est déjà fait : cela figurait dans les engagements présidentiels.