Nous ne réduisons pas l'enfant au seul projet parental, pas plus qu'à la rencontre fortuite d'un spermatozoïde et d'un ovocyte. Tant mieux si, grâce à un projet parental, l'enfant aura ensuite de meilleures chances dans la vie !
La notion de projet parental existe dans le droit de la bioéthique depuis une vingtaine d'années ; il ne soulève aucun problème, au contraire, pour la préservation de l'intérêt supérieur de l'enfant. Avis défavorable.