Je suis désolé de ne pas vous avoir convaincu ; j'essaie, pour chaque amendement, de prendre le temps d'expliquer et d'avancer des arguments – que vous ne soyez pas d'accord avec eux, je l'entends très bien. Nous nous trouvons dans une situation exceptionnelle, qui provoque un engorgement sévère. Vous dites que le fait d'augmenter les moyens permettrait de résoudre immédiatement le problème ; pour ma part, je considère que la crise appelle des mesures comme celles qui nous sont proposées. Je suis désolé que vous n'en soyez pas convaincu, mais je maintiens mes propos.