La semaine, dernière, Fadila Khattabi et moi-même avons présenté à la commission des affaires sociales nos conclusions sur les questions d'emploi et de travail liées à l'épidémie. Face à une crise sanitaire représentant un risque énorme pour l'emploi, qu'il importe de préserver autant que possible, les acteurs que nous avons consultés plébiscitent l'activité partielle. Ce qui est proposé sur ce point dans le cadre du projet de loi permet de déroger aux règles relatives aux CDD et à l'intérim de façon très strictement définie, pour une durée de six mois à compter de la fin de la période d'urgence, ce qui ne va pas à l'encontre des droits des salariés, mais paraît conforme à la nécessité de préserver l'emploi.