La disposition proposée constitue effectivement un progrès pour les saisonniers, en ce qu'elle est destinée à leur permettre de travailler plus longtemps, donc d'échapper dans une certaine mesure à la précarité à laquelle ils sont habituellement exposés. Aujourd'hui, l'agriculture française a besoin de bras ; c'est pourquoi j'ai moi-même déposé un amendement visant à permettre aux saisonniers de travailler jusqu'à douze mois.