Le risque d'engorgement des préfectures à ces dates existe – nous pourrons en débattre en séance. D'ici là, nous tenterons d'obtenir des réponses des ministères concernés, afin qu'ils nous rassurent sur la capacité des préfectures à traiter les demandes dès le 15 juin, quitte à amender le texte, si la majorité des services préfectoraux ne sont pas prêts.
C'est pourquoi je maintiens ma demande de retrait. À défaut, l'avis est défavorable.