Il est proposé de relever temporairement le nombre d'heures d'activité professionnelle salariée susceptibles d'être accomplies par les étudiants étrangers, en le portant de 60 % à 80 % de la durée de travail annuelle. Il s'agit, d'une part, de permettre aux étudiants étrangers bloqués sur le territoire national de continuer à subvenir à leurs besoins et, d'autre part, de répondre aux besoins de certaines filières en très forte tension.